Agenda

Pour accéder à l'agenda du la semaine cliquez sur ce qui suis : Agenda des Colombes


vendredi 11 décembre 2020

Films et musiques cultes au moment des fêtes de Noël

Films cultes qui passent au moment des fêtes de fin d'année :
 
Maman j'ai (encore) raté l'avion
Gremlins
Le Père Noël est une ordure
L'étrange Noël de Monsieur Jack
Astérix
Sissi
E.T
Sister Act


Musiques de Noël :
 
Tino Rossi : petit Papa Noël
Mariah Carey : all I want for Christmas is you
George Michael : Last Christmas
Demis Roussos
Et les classiques :
Vive le vent / Jingle bells
Douce Nuit
Mon beau sapin

Et pour vous ? Quels sont vos films et musiques cultes de Noël ?
 
 
 


vendredi 13 novembre 2020

Petit rituel journalier pour un confinement réussi : jouer au Toc

 

 

 

 

 D'abord, il faut aller sur la plate-forme de jeux : board game arena

adresse du site board game arena 

On y trouve pleins de jeux divers et variés qui permettent de se retrouver à plusieurs à distance : tarot, belote, six qui prend, concept...

Le jeu du Toc ressemble aux petits chevaux mais avec des cartes. Le but est de faire faire le tour à ses pions seuls ou en équipes de 2 personnes. Certaines cartes ont des pouvoirs spéciaux : le valet, le 10, le 5 et le 7 (qui mange tous les pions sur son passage y compris son partenaire). Pour démarrer, il faut un as ou un roi. Chaque carte a donc son effet...

Pour une partie à 6 joueurs, celle-ci peut durer 1h30 voire plus ce qui permet déjà de bien occuper sa journée...

Et souvent, on s'appelle soit par téléphone soit par Whatsapp en plus. C'est de la triche mais bon...

Aux Colombes, un jeu du Toc sera prochainement disponible... Il est en cours de fabrication, en bois...

Vous trouverez ci-dessous les règles du jeu : 

règles du jeu

 




Nadège, Marie, Cédric & Jérémy



vendredi 6 novembre 2020

Les Dix Commandements d'un confinement réussi

 

 

1- De bonne heure et de bonne humeur tu te réveilleras ;

2- Ton petit déjeuner tu prendras ;

3- Tes courses de bonne humeur tu feras ;

4- Ton masque tu porteras ;

5- Ton gel hydroalcoolique tu utiliseras ;

6- Des nouvelles de tes proches tu prendras ;

7- De manière équilibrée tu mangeras ;

8- Ton attestation de déplacement tu rempliras ;

9- D'une heure d'activité physique quotidienne tu disposeras ;

10- Grâce à ces leçons, la COVID 19 tu vaincras


Jérémy, Marie, Nadège et Cédric


vendredi 9 octobre 2020

Partenariat :Info Psy Rennes-RESO5

L'association RESO 5 Comment combattre la souffrance psychique ? Bien sûr, on peut se faire aider par les médicaments psychotropes. Quoi qu'on en dise, l'intervention chimique dans le cerveau permet un apaisement et facilite un retour à l'action et à l'autre (si ce n'était ces maudits effets indésirables). On peut aussi compter sur les différentes psychothérapies individuelles. Qu'elles soient analytiques, comportementales, ... (aujourd'hui il en existe une multitude) Elles peuvent réussir là où les médicaments s'arrêtent. Les différentes thérapies analytiques, avec toute la richesse de leur analyse, peuvent « démasquer » des conflits, pour mieux les résoudre. Les thérapies comportementales et cognitives (T.C.C), elles, de façon très pragmatiques, apportent des solutions concrètes, en déconditionnant et reconditionnant des comportements et pensées pathologiques (T.O.C, etc...). Mais il existe une autre modalité : la psychothérapie de groupe. En effet, la personne humaine est aussi le produit d'une situation sociale et de rapports sociaux. Nous savons, par exemple, que beaucoup de personnes ayant des troubles psychotiques, ont des difficultés, dans le rapport à l'autre. Le repli sur soi, l'hyper-isolement proviendraient d'une peur, pathologique, de l'autre. Souvent, des expériences traumatisantes (maltraitance, persécutions durant la scolarité, etc...) ont fragilisé la confiance en soi et créé des barrières, des perturbations dans l'attente sociale et par rapport aux normes sociales. La personne peut être « perdue » dans le jeu social, dans ses codes, ses us et plus généralement dans la socialité (c'est-à-dire dans tout ce qu'il faut faire même si personne ne dit qu'il faut le faire). Que peut-on faire pour remédier à toutes ces fragilités, qui engendrent tant de souffrance ? Et bien, on peut donner un cadre rassurant et des relations sociales apaisées, via une organisation sociale adéquate. Dans une association, une unité psychiatrique, une clinique, on institue une vie sociale où chacun peut trouver sa place. Et quand la personne humaine retrouve, à force de côtoyer l'organisation, des aptitudes et « compétences » sociales, elle peut s'ouvrir aux autres, rencontrer l'autre et donc se « réinsérer ». Du coup, elle pourra maîtriser ses troubles, pourquoi pas les résoudre, ou en tout cas en faire quelque chose de « positif ». En sachant que l'essentiel, au-delà de l'étrangeté de la pathologie, c'est que la personne mette un terme à toutes ses souffrances. C'est ce troisième type de thérapie que l'association RESO 5 s'emploie à déployer. L'association est née en 1996, de la volonté de soignants de faire de la psychiatrie autrement, notamment, donc, en utilisant la psychothérapie de groupe. Son nom, RESO 5, est la contraction de REinsertion, de SOciothérapie et secteur G5. L'organisation sociale, RESO 5 veut donc réinsérer la personne. En effet, les personnes affectées de troubles psys, sont souvent exclues des différentes sphères sociales. Par exemple, elles ne profitent pas de toutes les activités culturelles de Rennes. L'association-via aussi le CTJ-propose donc un accompagnement, dans une dynamique de groupe, pour se réapproprier la culture. C'est quelque chose de thérapeutique puisque la culture, l'art permet aussi de (re)trouver le goût des harmonies et de l'esthétique, propices à la stimulation du désir. La seconde syllabe, « so » veut dire : socio-thérapie. C'est plutôt un synonyme de psychothérapie de groupe. Comme nous l'avons déjà expliqué plus haut, ces thérapies visent, à partir du social, des dynamiques de groupes, au retour à un rapport à l'autre plus apaisé. Pour qualifier RESO 5, on peut même utiliser un terme plus « politisé » : la psychothérapie institutionnelle. Ce mouvement, né dans l'enfer de la deuxième guerre mondiale, a voulu « révolutionner » l'institution psychiatrique. Des psychiatres, en voyant l'horreur des camps de concentration, n'ont pas pu s'empêcher de les comparer avec les univers asilaires. Ils ont voulu changer les choses. En poussant leur réflexion sur l'institution psychiatrique, ils ont compris que celle-ci peut rendre malade. Dès lors, ils ont œuvré pour que l'organisation sociale de la psychiatrie, émancipe l'individu (liberté d'aller et venir, pas de hiérarchie dans les statuts, etc). Et aujourd'hui, ce mouvement est toujours vivace. On peut se permettre de dire qu'il inspire RESO 5. Le dernier caractère de RESO 5, 5, veut dire : secteur G5. Il indique tout simplement que les soignants et les soignés qui peuvent adhérer à l'association doivent résider ou travailler dans le secteur G5, c'est-à-dire, grosso modo dans le centre-ville et l'est de la ville de Rennes. Mais pas que. Que fait RESO 5 ? L'activité la plus importante de RESO 5 est le soutien aux activités, aux sorties et à l'acquisition de biens matériels, etc... Chaque mois, dans la salle du club, à l'hôpital Guillaume Régnier, tous les membres de l'association se réunissent. Chacun peut librement prendre la parole et donner son avis. Les responsables de RESO 5 sont là pour animer la réunion, pas pour décider à la place des adhérents. C'est le moment pour faire remonter les demandes des différentes unités (Magnan, Morel, hôpital de jour, etc) qui composent G05. Par exemple, un soignant ou un soigné va demander un petit financement pour une sortie. L'association va décider d'octroyer ou non, un peu d'argent à ce projet. Cela peut paraître des « petites choses », mais en fait cela contribue à la valorisation des soignés. Par exemple, l'association a financé l'achat de nappes « festives » pour les tables d'une unité d'hospitalisation. C'était pour Noël. Et cela n'est pas du tout futile. En effet, on peut être malade, hospitalisé et avoir le droit, comme tout le monde, de participer au rituel de Noël (d'où la nappe spéciale). Cela montre que vous faites partie de la société, de la collectivité humaine. Ainsi, toutes « ces petites choses », ces petits financements de RESO 5, contribuent à enrichir la vie des patients, en leur montrant que « l'institution » fonctionne avec eux et pour eux. Un fonctionnement démocratique et inclusif A RESO 5, les adhérents, qu'ils soient usagers ou professionnels, sont tous sur un pied d'égalité. Toutes les responsabilités peuvent être briguées par des patients (bien sûr, selon la capacité de la personne, il ne faut pas qu'elle soit en décompensation). Ce souci de démocratie se conjugue avec un souci thérapeutique. En effet, souvent, les personnes qui atterrissent à l'hôpital psychiatrique, se sont lentement et profondément dé-socialisées. Elles n'ont plus de statut social et sont désaffiliées. Ni travail, ni engagement associatif, ni cercle d'amis. Enfin, il serait faux et caricatural de prétendre qu'elles soient toutes désocialisées. Cela dépend de la pathologie, du parcours de l'individu, etc... Mais on peut quand même avancer, que la plupart ont une fragilité relationnelle. Et pour certains, s'engager dans RESO 5, peut permettre de réenclencher le relationnel, de retrouver un rôle, une place dans la société. Je suis vraiment responsable, les autres me font confiance pour mon mandat. RESO 5 redonne du pouvoir à ceux qui n'en avaient plus du tout ! Et même si cela peut être minime, comme par exemple, compter l'argent de la caisse du café, cela compte. Au moins, je suis utile à quelque chose. Une association dans et hors les murs de l'hôpital psychiatrique Historiquement, cela a été une « grosse bataille » d'imposer au pouvoir médical, la création d'une entité autonome et associative. Certains ne voyaient pas l'intérêt. Et d'ailleurs, malheureusement, certains ne voient toujours pas l'intérêt ! Au début (après la 2e guerre mondiale), ces organisations s'appelaient des Clubs. Puis ils se sont transformés en associations loi 1901. L'originalité de ces structures-comme RESO 5, le Gué, etc-, c'est qu'elles sont accessibles aux personnes hospitalisées et aux patients suivis en ambulatoire (personnes suivies par le Centre Médical Psychologique et/ou bénéficiant du Centre Thérapeutique de Jour). On peut même profiter de l'association en étant juste dans le secteur G5. Une association à l'H-P, dans un univers qui reste clos et fermé, ce n'est pas rien. Comme nous l'avons dit précédemment, cela permet de faire remonter les demandes des soignés et des soignants. Prenons un exemple concret : Je suis hospitalisé. Je ne vais pas bien. Je m'ennuie terriblement. Je me suis fait un copain. On veut faire un jeu de société. Malheureusement, le jeu est déchiré et il manque des pièces et des cartes. Et bien, grâce à RESO 5, je peux demander, via un représentant ou moi-même, lors de la réunion de la mensuelle, l'achat d'un jeu neuf. Les petites rivières font les grands fleuves. L'autre grand intérêt d'une association qui existe en « intra » et en « extra », c'est la continuité de l'accompagnement. Même si certains patients, après leur sortie de l'HP, se stabilisent et volent de leurs propres ailes, beaucoup ont besoin d'un accompagnement psycho-social. Or, si je sors et que je dois chercher une nouvelle association, de nouveaux soignants, de nouveaux professionnels, il se peut que la transition ne se fasse pas, que je ne retrouve pas une structure qui me convienne. Pas de dangers de ce côté-là, avec RESO 5. Après l'hospitalisation, je retrouve les mêmes personnes et les mêmes animateurs. Je garde mes repères et je peux poursuivre mes projets avec les mêmes personnes. Du coup, il n'y a pas de rupture associative, et cela, concourt au rétablissement de la personne. Dans la cité L'autre grande force de RESO 5, c'est la volonté d'inscrire l'association dans la vie de la cité. En effet, un des travers de la psychiatrie, et plus généralement, de toutes les structures en santé mentale, c'est la ghettoïsation. Et cet « entre soi » débouche souvent sur de la stigmatisation. Surtout, il peut avoir un effet délétère, car les usagers peuvent se renvoyer leur mal-être, leurs angoisses et leurs psychoses et donc faire perdre la relation. Conscient de ce problème, RESO 5 œuvre pour créer et entretenir des partenariats : TNB, tombées de la nuit, ATA, PHAKT, l'avenir de Rennes, les jardins familiaux, etc... En effet, depuis plusieurs années, l'association développe de multiples partenaires dans le champ culturel et sportif. Le but est de lutter contre les préjugés et de favoriser l'inclusion dans le droit commun. Avec toutes ces structures, RESO 5 partage des activités et des évènements. Car oui, les usagers ont aussi besoin d'être avec des gens qui vont bien. L'association RESO 5 fait partie d'un mouvement dans la psychiatrie. Un mouvement de soignants, mais aussi d'usagers. Il fait le pari de créer un espace d'initiatives où chacun et chacune peut se réapproprier des possibles et des communs. Mais il n'existerait pas, ou ne serait qu'une idée, s'il n'était pas impulsé par des hommes et des femmes de conviction. Leur humanisme et leur volonté inébranlable permettent l'existence d'une psychiatrie dans la cité, qui crée une vie sociale, généreuse et avisée. Ce mouvement ne mourra jamais. Même s'il est attaqué, brocardé, diffamé, toujours de nouvelles générations le découvriront de nouveau. D'ailleurs, ce mouvement n'est pas un protocole ou une notice à suivre. Non, il faut constamment le réinventer et le nourrir de toutes les expériences nouvelles. Il est le contraire d'un dogme. Il faut sans cesse le questionner. Cet article ne peut être reproduit, même partiellement, sans autorisation. Cet article est publié à la fois sur Info Psy Rennes et sur l'écho des esprits. RESO 5 CHGR Services centraux G05 courrier : 108 Avenue du Gal Leclerc B.P 60321 35703 RENNES CEDEX 7 E-mail : reso5@ch-guillaumeregnier.fr

lundi 14 septembre 2020

Sortie canoë

 

Mardi 8 septembre, nous avons pris la route direction Saint-Vincent-sur-Oust pour une journée canoë.

Nous avons pagayé autour de l'Ile aux Pies sous une belle journée ensoleillée.


 

"Une journée en dehors du temps, qui fait du bien." (I.)

 

"Une journée amusante, agréable et ensoleillée." (Louise)

 

"Le canoë avec les soignants c'était super, le pique-nique aussi." (Afiyo)

 

"Revigorant, ça m'a changé les idées." (Martin)

 


 

Unité Morel 

 

lundi 20 juillet 2020

Scooby-Doo au cinéma

Scooby-Doo des studios Hanna Barbera initialement orthographié Scoubidou en France tire son nom de son personnage principal, un grand chien sympathique, gourmant et peureux, apparu pour la première fois en 1969 au Etats-Unis et en France le 5 mars 1975.
La série et les films reposent sur une bande de copains : Fred, Sammy, Vera et Daphné et leur chien Scooby-Doo, qui mènent des enquêtes avec des éléments effrayants et surnaturels. En 2020, un film sort au cinéma, principalement à destination des enfants mais aussi des adultes qui vont se remémorer l'attachement aux personnages. On y trouve les méchants Dick Satanas et Diabolo qui viennent de la série Les Fous du volant, issue du même studio que Scooby-Doo.

Ce n'était pas ma première expérience sur le retour au cinéma depuis le coronavirus mais sachez-le, les cinémas sont de nouveau ouverts depuis le 22 juin et il serait dommage de ne pas en profiter. Un siège est imposé entre chaque groupe de spectateurs et le masque est obligatoire dans les espaces communs. Du gel hydroalcoolique est à disposition à l'entrée du cinéma. Nous étions à peine 10 personnes dont des enfants. J'ai trouvé le film drôle.






Nadège et Caroline

mardi 23 juin 2020

Le magasin Cultura

      Le magasin Cultura est une merveille, j'y vais souvent pour trainer, je voulais donc partager ça avec vous aujourd'hui. Il y a vraiment de tout là-bas. 

      Ce n'est pas seulement un magasin de Loisirs créatifs comme on peut le croire, à Cultura il y a tout ce qu'on veut.

      De la papeterie aux 33 tours en passant par les DVDs et les CDs ainsi que les livres on en a plein les yeux.

      Pour ce qui est du prix des articles , ça reste très abordable et on trouve rapidement ce qu'on veut. Le choix est vraiment intéressant il y a vraiment de tout.

      Il existe 2 magasins Cultura autour de Rennes centre, à St-Grégoire et à Chantepie.

       Personnellement quand je vais à Cultura j'ai envie de tout acheter.

      J'espère que vous aurez envie d'aller y jeter un petit coup d’œil à l'occasion.

      C'est très agréable d'aller y faire un tour.

*Adresses utiles: 
 _Cultura St-Grégoire, Route de Saint-Malo, 35760 St-Grégoire

_Cultura Chantepie, en face du Roy Merlin, Allée du Guerlédan, 35135 Chantepie


*Info pratique concernant le magasin de Chantepie:
pour ceux qui n'ont pas de voiture le trajet est assez long, il faut prendre le métro pour aller à La Poterie le terminus et prendre le bus 13 en direction de Cucé (Chantepie) et descendre à l'arrêt Rocade sud (chantepie). Après il faut marcher jusqu'au magasin qui est encore assez loin. 


                                                                         Elodie du CTJ.   

mardi 16 juin 2020

La maladie : solution (conclusion)

      Pour conclure, si on peut vraiment conclure, je dirais que l'Hôpital Psychiatrique est une question de ressentis, d'impressions fausses ou vraies. Ces impressions qu'elles soient réelles ou imaginaires, délirantes ou bien fondées sont vécues.

     Le cerveau a imprimé quelque chose que tout le monde ne possèdera pas. Et peut-être que tel un muscle, on s'évertue à trouver, à chercher, mais que nous devenons plus fort chaque jour. C'est très important.

      La schizophrénie est la maladie la plus courante à l'hôpital; plus de 0,7% de la population (homme ou femme) est touchée. Cette maladie est si violente quand elle se déclenche que rien ne peut l'arrêter. Mais, on peut en guérir et on peut réellement s'en sortir si on le veut vraiment.

      La question du vécu dans cette maladie est très importante : ce que nous ressentons passe avant tout. Ce que nous vivons au quotidien compte, nous ne sommes pas seul pour affronter tout ça.

       J'aurais voulu citer jusqu'à plus soif les solutions de la maladie que j'ai trouvé, mais ce n'est qu'un point de vue comme un autre, vous l'aurez compris.

       Comme je l'ai dis au tout premier chapitre, LA solution radicale n'existe pas : il faut trouver sa réponse à soi. Il faut surtout arrêter de penser que son avis et son ressenti ne compte pas.

       La maladie est contraignante dans la vie de tous les jours, on voudrait vraiment être comme les autres,  ceux à qui il n'arrive rien. Mais, qu'est ce qui est vraiment normal ? Où est la véritable norme de l'être humain ?

       Je ne dis pas que je suis contente d'être tombée malade, bien sûr que non. Je dis juste que tout ça peut bien se passer et qu'il y a toujours eu de l'espoir, même quand on ne l'entend plus.

      Les problèmes de toutes ces maladies psychiques sont nombreux, importants, insurmontables même parfois mais il y a un point positif de taille, on peut s'en sortir.

      Pour finir, mon expérience à moi a duré 5-6 ans pour me remettre à vivre normalement et je me sens plus forte qu'avant la maladie. Ma mémoire est excellente et j'ai enfin des projets pour la suite de  mon parcours. Je me sens stable et je suis toujours de bonne humeur.

      J'espère que je vous aurais aidé à mieux comprendre ce qui nous arrive et que vous vous serrez posés des questions un peu plus profondes peut-être...

                                           Paris,Texas 

 

     J'aimerais vous parler aujourd'hui d'un film qui m'a particulièrement touché dans mon adolescence.
     Ce film, c'est "Paris,Texas" m'a ouvert les yeux sur le "vrai" cinéma d'auteur.
     Réalisé en 1984 par Win Wenders, il raconte l'histoire d'un homme porté disparu depuis 4 ans et
     et qui est recueilli par son frère et son fils, qu'il n'a pas vu grandir.
     La musique, signée Ry Cooder, est superbe et tout a fait adaptée au film ou chaque plan du
     film est une ouverture vers le contemplatif . 
     J'aime aussi l'acteur Harry Dean Stanton qui a joué par la suite dans de nombreux films que       j'apprécis
     et joue là un personnage très attachant.
     J'aime aussi le réalisateur Win Wenders car il a souvent fait des films assez contemplatifs,sur le thème
     de l'errance, du voyage et des grand espaces des états unis.
Je vous conseille vivement de voir "Paris,Texas" car c'est vraiment une claque de cinema dans le
    genre "road movie"
    Ce film a remporté la palme d'or au festival de Canne en 1984.


            
 
 
                                                                                         Stéphane Vallée
 

 
Salut a vous tous !
J'aimerais vous faire découvrir une chanson , un groupe ; qui se nomme Aliose ...
 

Romantique et surprenante , une musique qui envoute et prête a rêver , j'aspire a vous dire quelle m'émeut. le clip est bien ficelé , intelligent , beau et cool , actuel , une chanson française ,
traditionnelle . une histoire qui parle , des droits , des lois ,  message , romantique ; amour timide , mélodie sans vulgarité , belle référence musicale que j'aime .
 
Avec plaisir , des valeurs a vous transmettre a partir de mon envie , la musique a un côté magique
, une impression pour moi , musique populaire qui vous rappelle des souvenirs .
 
Pourquoi pas , allez acheter le disque , pour vous dire , je vous donne un lien , gratuit pour télécharger des musiques , gratuite et très accessible , My-Free-MP3 ... ??
 
Donnez votre avis ... a bientôt , le clip , J'ai oublié ...
   
 

De la part d' ALEXIS
  

lundi 15 juin 2020

Le confinement vécu par Nadège


Ce que j’ai mis en place pour survivre au confinement :

A l’annonce du confinement, je me suis dit que je ne tiendrais jamais 15 jours, toute seule chez moi. Mais j’ai mis en place une sorte de rituel : d’abord, le matin, après mon réveil, j’écoutais la radio. L’avantage, avec le confinement, c’est que très rapidement, l’émission de Manu sur NRJ a été prolongée jusqu’à 10h30 au lieu de se terminer à 9h30. Pour bien commencer la journée, rien de tel qu’une petite dose d’informations et beaucoup d’humour ! 

Ensuite, je me douchais, je m’habillais et je déjeunais. L’après-midi, mes amis et moi : on se retrouvait pour jouer sur une plate-forme de jeux de société.  Vers 14h00, j’appelais tout le monde pour savoir qui était motivé pour jouer sur boardgamearena.com.
Selon les jours, nous jouions 2 heures, parfois 3. Soit au Toc (sorte de petits chevaux mais avec des cartes), soit au Solo (version très légèrement modifiée du Uno) soit au 6 qui prend ! (on a des cartes et le but est de récupérer le moins de têtes de bœuf).

C’est un bon remède anti-isolement, que je vais garder à l’avenir. Cela a renforcé nos liens entre amis et en a créé d’autres. Nous nous sommes soutenus les uns les autres. Cela a fait notre force !

Et puis, finalement, même s’il y a des hauts et des bas, nous avons survécu au confinement !

Nadège

Confinement / Dé-confinement : Retour d’expérience…



     Nous voilà mi-mars 2020, alors que le printemps s’annonce, un évènement inédit en France survient rapidement : Pour cause de risque épidémique au coronavirus, une période de confinement à durée non déterminée s’impose. Eviter à tout pris les contacts, ne sortir de chez soi qu’en absolue nécessité, ou pour faire ses courses…


Cette distanciation sociale et/ou physique, cette  mise à l’isolement forcée entraina un chamboulement de la vie au quotidien. Il a fallu se réorganiser pour occuper le temps en intérieur : Un peu de lecture, un peu de télévision et de musique, de l’informatique et pour accélérer les temps complètement distendu, de bonnes nuits de sommeil.

Finalement, un nouveau rythme se met en place mais arrive bientôt la fin du printemps avec l’épidémie qui régresse et enfin le dé-confinement qui s’annonce. Petit à petit, il est possible de ressortir sans attestation et l’on retrouve une certaine liberté dans la limite du respect des gestes barrières : La vie reprend son cours normal.

On oublie finalement vite que le confinement a durée presque deux mois, mais le plus difficile reste à la marmotte que je suis de retrouver son rythme diurne après cette longue période d’hibernation.

Guillaume