Agenda

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mardi 30 avril 2019

Christina Aguilera

Une chanson de Christina Aguilera a attiré toute mon attention parce qu'elle est un peu différente des autres. D'habitude, ses chansons sont puissantes ; celle-ci est toute douce. Une technique irréprochable, des petites notes qui étincellent dans tous les sens vers la fin de la vidéo, une virtuosité dans la façon de chanter.


 Voici maintenant une seconde vidéo très intense dans laquelle elle fournit une belle prestation lors des grammy awards. Une note aigüe époustouflante aux trois quarts du morceau.



Benjamin du CTJ

jeudi 25 avril 2019

Musique

     Le morceau d'aujourd'hui est très jolie. Même si ça fait un bout de temps qu'il est sorti, je trouve qu'il a traversé les âges sans se démoder. Les paroles sont très jolies aussi, et c'est l'histoire  qu'elles racontent qui me touche profondément.

     On parle souvent de l'Afrique en disant, en général, que c'est un pays très mystique, envoutant et très particulier.

 
 
      Mais la chanson de Yannick Noah "Les lionnes" est un véritable petit bout d'Afrique à lui tout seul.

      C'est un moyen de s'évader immédiatement là-bas. De se laisser porter par les tam-tams enivrants de l'Afrique dans des histoires merveilleuses contées par des gens noir de peau. Et de se laisser rêver aux marabouts, boubous, et autre objets sacrés le temps d'une chanson.

     Bonne écoute.

                                                                                                           Elodie du CTJ.

mardi 23 avril 2019

Bar à jeux

Mardi dernier, nous sommes allés au bar à jeux près des Champs-Libres de Rennes. Nous étions une dizaine à jouer au Taboo, parmi les innombrables jeux de société qui nous étaient présentés. Le personnel était très sympa. Le prix des boissons est correct, je recommande ce bar à ceux qui veulent un bon moment de convivialité.




Leur site web pour en savoir plus (adresse et téléphone) :
 www.lheuredujeu.fr

Benjamin du CTJ

Sortie à la journée à Saint-Malo

Jeudi dernier nous sommes allés à St-Malo pour une sortie à la journée.

Le temps était magnifique, il faisait très beau pour la saison, nous avons eût de la chance !

Après avoir pique-niquer sur la plage de la Gimorais, nous avons décidé d'aller à St-Malo pour faire le tour des remparts.

Et enfin juste avant de repartir de St-Malo nous avons bu un café sur une belle terrasse qui donnait sur la mer.

Nous sommes rentrés aux alentours de 17h et très gentiment les infirmiers nous ont déposé dans le centre ville.

 
C'était une sortie très agréable avec la météo au beau fixe. On a bien rigolé et pris des couleurs aussi.

Quel beau souvenir, à refaire !


                                                                   Elodie du CTJ.

jeudi 18 avril 2019

Zaï Zaï Zaï Zaï


ZAÏ ZAÏ ZAÏ ZAÏ

 

Ce mercredi 27 Février 2019, nous arpentons dans l’obscurité le chemin qui nous mène dans la salle Gabily, Plaine de Baud.

Zaï ZaÏ ZaÏ Zaï, fiction radiophonique adaptée de la bande dessinée de Fabcaro et mise en scène par Paul Moulin.

Nous sommes à vif et l’entrée dans la salle nous interpelle !? Acteurs sur le bois, concentrés, nous les découvrons.

Sommes-nous aussi acteurs de cette fiction ? Et a t-elle déjà commencé ? Et malgré nous, qui observe qui ?


Petit résumé de la pièce en quelques lignes :

Fabrice (plutôt Monsieur Tout le Monde), est à la caisse d’un supermarché et lorsque la caissière lui demande s’il a la carte du magasin, il fouille ses poches, et ne la trouve pas ! Fabrice est alors considéré comme un criminel, il entame une cavale burlesque avec toute la force publique à ses trousses !

En quelques heures, Fabrice devient l’ennemi public numéro un, son cas divise la société.

Ne pourrait on pas laisser sa chance à quelqu’un qui, s’il dit vrai, a en effet laissé sa carte dans son autre pantalon ?

Mais alors, Fabrice finalement a perdu son prénom, il n’est plus qu’un anonyme !

Paradoxalement cette perte d’identité nous pousse à nous questionner sur nos propres existences ?

La pièce ruine toute idée de singularité, et nous embarque dans une cavale effrénée !

Pendant 50 minutes de représentation, nous sommes au coeur de la dérision et de l’absurde des pensées uniques ! Avec une idée simple au départ de la carte de fidélité, symbole de la consommation ! Les acteurs dénoncent l’intolérance et l’hypocrisie du monde dans lequel nous vivons !

Monde où une pseudo fidélité nous emprisonne, alors qu’elle devrait révéler notre humanité !

Ce n’est pas une pièce de théâtre avec un décor, les acteurs s’éclatent amèrement à jouer au 10ème degré cette fiction proche du public. C’est au spectateur de s’inventer le décor !

Avec pour fil directeur, de multiples flashs sonores et visuels qui se heurtent en permanence !
 
A la fin du spectacle, un rideau s’est levé, et les acteurs nous invitaient à partager un verre !

Ce que le spectateur ne savait pas, c’est que la pièce n’était pas finie, les acteurs ont continué à jouer parmi les spectateurs buvant leur consommation.

 
Parmi les acteurs et actrices, il y avait Adèle Haenel, elle était à l’affiche des films :
En liberté ! 120 battements par minute… Elle a déjà obtenu 2 César. 

  

C’était déjanté, j’ai éclaté de rire à plusieurs reprises ! En deux mots : n’oubliez surtout pas votre carte de fidélité si vous changez de pantalon !!
















L’air de rien, une chanson nous perce et nous transporte tout comme la pièce.
 
« Elle m’a dit d’aller siffler là haut sur la colline
De l’attendre avec un petit bouquet d’églantines
J’ai cueilli des fleurs et j’ai sifflé tant que j’ai pu
J’ai attendu attendu elle n’est jamais venue… »
 
Merci à Nadège et Dorothée qui nous accompagnaient pour ce spectacle.

 

Stéphanie et Christine.

mardi 16 avril 2019

Musique

     Aujourd'hui c'est un morceau exceptionnel que je veux vous faire découvrir. C'est un morceau que j'adore et qui me parle vraiment beaucoup.

     Mickey 3D qui en est l'auteur est un artiste qui pour moi, est criant de vérité.

     Ce n'est pas le style musical qui est recherché ici mais bien une poésie profonde qui parle de tout un aspect de la vie. Un aspect dont on ne parle pas souvent. Un aspect un peu déprimant.

 
      N'oublions pas que l'Homme a tendance à détruire un peu tout ce qu'il touche et que le fameux "progrès" est une question de point de vue.

      La chanson est une narration, une sorte d'histoire racontée en musique qui touche profondément par le biais des paroles.
Des paroles crues qui sont capables de toucher petit comme grand.

      Mickey 3D est un grand artiste qui touche immédiatement le cœur même si "Respire", le titre d'aujourd'hui, reste remarquable dans l'histoire de la musique.

      Bonne écoute.


                                                                     Elodie du CTJ.

Dumbo l'éléphant




Tim Burton a réalisé un film que nous avons vu jeudi dernier : Dumbo. Il s'agit d'un film avec des images de synthèse très réalistes pour ce qui est des animaux, on aurait dit de vrais éléphants (les humains en revanche ne sont pas en images de synthèse).



Ce film n'a pas fait l'unanimité, mais personnellement, je suis de ceux qui ont aimé. Quel plaisir quand on voit Dumbo apprendre à voler !

Benjamin du CTJ

lundi 15 avril 2019

culino du 15 avril 2019 pour une recette onctueuse de hachis parmentier

Temps de préparation: 1 heure 10

Eplucher les pommes de terre, les rincer et les couper en morceaux.
Faire cuire les pommes de terre de préférence à la vapeur.
Réduire en purée et incorporer deux cuillères à soupe de crème fraîche, du sel et de la noix de muscade râpée. Réserver au chaud.
Faire revenir les oignons et l'ail finement hachés avec du persil dans un peu de beurre, ajouter de la viande hachée, faire dorer quelques minutes, ajouter l'eau. Faire cuire doucement 10 minutes.
Saler, poivrer.
Etaler une couche de purée dans le fond d'un plat à gratin, étaler le hachis par dessus puis recouvrir uniformément de purée.
Saupoudrer de fromage râpé.
Mettre à gratiner au four à 210°C (thermostat 7) pendant 25 à 30 minutes environ après avoir préchauffé le four, puis servir avec une salade verte.

Le repas n'était pas trop gras et s'est déroulé dans une ambiance conviviale.
Le presse purée mécanique s'est révélé très efficace et a donné une purée onctueuse.

Philippe, Ludmila, Stéphane, Jean-Claude, Françoise et Nadège.

mardi 9 avril 2019

Eternité

     L'autre jour je suis allée voir une exposition nommée Eternité à l'espace des sciences des Champs libres.

     Cette exposition parle du concept de "la vie éternelle" chez l' Homme. Nous sommes nombreux à nous poser des questions sur la fin de notre vie et sur la vieillesse. Nous sommes pourtant tous destinés à mourir un jour.

     Grâce à des recherches et à des expériences de divers chercheurs partout dans le monde, la vie devient exploitable : nous pouvons la prolonger et la conserver.
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      Je ne voudrais pas raconter toute l'exposition, il faut y aller ; mais d'un point de vue scientifique on apprend vraiment beaucoup de choses sur la vieillesse et la fin de la vie.

      Beaucoup de chercheurs se basent sur des animaux qui ont des capacités de régénération d'une partie de leur corps ou qui ne vieillissent pas pour ne parler que de ça.

      J'ai beaucoup aimé cette exposition qui m'a fait apprendre beaucoup de choses sur la fin de la vie.

      Je la conseille vraiment à ceux qui ont un peu peur de vieillir.

>>>>>> https://www.espace-sciences.org/expositions/eternite



                                                                                         Elodie du CTJ.
                                                                                                      

jeudi 4 avril 2019

Les bienfaits de l'écriture


         Hospitalisé, durant 9 mois, au sein de structures psychiatriques (CHGR et Clinique du Moulin à Bruz) en 2018, pour la 1ère fois, dans mes parcours d'hospitalisations, entre 2005 et 2019 (au nombre de 5), j'ai utilisé l'écriture pour accompagner ma relation avec le psychiatre référent, et d'une manière plus générale, avec l'équipe de soin à l'unité Magnan. Si je n'ai jamais pensé écrire à un Dr chirurgien à l'hôpital général, le cadre d'une hospitalisation en psy se révèle plus favorable
            Mais l'écriture, qu'est ce que c'est au juste ?:
            1) Poser des mots qui passent par l'esprit sur la page blanche, alors on se retrouve d'emblée confronté à la nécessité de respecter l'orthographe, la grammaire, la possibilité d'être compris comme on l'entend. Si on possède ces prérequis, (éventuellement aidé par un soignant, ou un-e ami-e usager plus expert-e), alors le blog « l'écho des esprits » vous tend ses bras, dans l'envie et le but de vouloir partager avec les autres
            2) Vouloir transmettre un ressenti, un message, une analyse aux soignants et le 1er d'entre eux, le psychiatre, demande d'être familiarisé à l'acte d'écriture, et d'être davantage rompu au maniement des concepts, des références solides et n'est, de ce fait, pas accessible au « 1er venu ».
            C'était mon cas, « en toute modestie », mais écrire sur des sujets qui me tenaient à cœur, je savais le faire, écrire, à destination du psychiatre qui me suit, qui à le pouvoir de garder ou de renvoyer de l'hôpital, ça c'était nouveau. C'est ainsi qu'au cours de l'année 2018, je n'ai pas moins produit 6 écrits, pour aboutir avec un dossier de 16 pages dûment remplies.
            Le starter de cet exercice particulier, à Magnan, s'est produit à l'occasion d'un malaise vagal, consécutif à une angoisse en cours et une prise de cannabis simultané (3 bouffées). Le psychiatre sur site, étant encore présent, il est alors venu à mon chevet mais mes tentatives de dialogue étant incompréhensibles (je voulais lui dire qu'à cause d'un sms envoyé, j'avais perdu, pour toujours, mon meilleur ami), il a fini par me lancer : «mettez moi ça par écrit !». En culpabilité par rapport à moi-même, mais aussi par rapport à la perte « inévitable à mes yeux) de mon meilleur ami, je mis un week- end entier pour écrire un A4 recto verso serré, afin de tenter de lui expliquer ce qui avait été en jeu chez moi, lors de ce malaise. Et toujours dans la crainte, "non rationnelle", qu'il pouvait en juge suprême, décider de mon renvoi d'hospitalisation. Surprise !, c'est avec un détachement certain qu'il prit cet écrit, alors que moi je me plaçais en radicale auto-accusation (usage du cannabis, les «lâchetés» de mon passé, etc . . . ).
            Par la suite, ce chemin d'écriture étant engagé (dégagé ?), je me suis appuyé sur le contenu de nos rendez-vous, pour lancer, sans y avoir pensé avant, une nouvelle page d'écriture. Page, à ce moment là, toujours empreinte de mes «flagellations» d'angoisses. L'exercice en était salué par le psychiatre (vous écrivez très bien – avec brio – ça doit vous faire du bien de produire ça), propos qui ne me rassuraient pas du tout sur mon état de santé (que je vivais comme irréversible, persuadé de ma déchéance indigne et d'une mort affreuse).
             Ce n'est, qu'après ma « sortie du trou », que j'ai pris conscience que mettre en mots écrits, sa souffrance, ses angoisses, et surtout vers l'interlocuteur psychiatre que l'on respecte, qui a du pouvoir sur soi (et du mouvoir !). Là, il faut bien prendre conscience, que les entretiens, en face à face, ne permettent pas tous les développements permis par la constance, le temps, l'idée fondamentale qui nécessite d'éclairer le futur lecteur. En effet, il suffit que l'interlocuteur émette une demande d'explication, d'explicitation, un geste, une attitude pour que le locuteur perde le fil de sa démonstration.
            Écrire dans le blog L'écho des esprits est à la portée de beaucoup d'entre nous, avec ou sans aide. C'est faire preuve de solidarité, d'envie de construire un espace commun avec ses pairs (et aussi ,bien sûr, avec l'équipe soignante).
            Quant à l'exercice auquel je me suis frotté, s'il est plus difficile d'accès, dans le rapport qui s'établit avec son psychiatre, il faut se persuader, que dans l'hôpital public, c'est forcément quelqu'un d'attentif et de précautionneux, et que nous pouvons lui confier le fonds qui nous agite et qu'il ne peut deviner. Passer par l'écrit est un moyen qui oblige à structurer son récit, à le rendre accessible, même si cela parle de choses graves ou surtout ressenties comme telles. Le CATTP Les Colombes, peut vous aider pour cet exercice personnel, par ses « jardiniers attentifs » que sont les professionnels qui s'en occupent. Mais, tout de même, j'insiste sur la démarche personnelle et authentique qu'il doit prendre, ce afin de devenir, si ce n'est pas le, cas, des usagers du CHGR et de ses prolongements, en pleine responsabilité de ses désordres pour , in fine, grandir pour soi, au fil du temps.
Constant , le 15 mars 2019

Au café citoyen de la SISM 2019


                Ce mardi 19 mars là, au CSTC de Guillaume Régnier, nombreux furent les présents de ce rendez-vous consacré au numérique et à sa perception dans nos vies. Il s'agissait, pour les organisateurs, de ne pas assommer de « termes techniques » des personnes, qui, à priori n'étaient pas à l'aise dans ce domaine qui a envahi la sphère sociale. C'est pourquoi, nous étions répartis en petites tablées pour échanger, avec au sein du groupe, un rapporteur chargé de restituer au grand groupe ce qui avait été dit. A notre tablée, c'était moi qui m'y collait, et c'est avec : Jocelyne, Christine, Julien, Manon, François, Frédéric et Lucille que la discussion s'engagea.
            Le 1er et plus participant, Julien : moi, j'ai commencé à 15 ans, et je trouve que le téléphone portable, c'est égal à un ordinateur (C'en est un en effet). Je préfère le portable parce qu'il y a tout dedans. Une génération est née avec et je m'interroge sur ce que ça va donner, au niveau social. Qu'est ce que c'est ce lien virtuel vis à vis du vrai lien physique ? Sinon, quand j'ai besoin d'un ordinateur, je vais aux Champs libres.
            Puis eurent lieu des interventions multiples :
        un constat pour le groupe : 2/4 connaissent l'existence de l'ordinateur mais ça leur semble hors de portée
        si j'étais accompagné, j'essayerai
        Christine : j'aimerai apprendre à c'est faire un blog. J'ai un ordinateur chez moi
        Jocelyne pointe le problème de compétence par rapport à la déclaration d'impôts par ex. Moi, je vais au Centre Social où il y a des bénévoles pour aider.
        Mais accompagner une personne fonctionne que cela suscite un élan de sa part, sinon c'est comme des graines dans panier percé. Quels sont les caractéristiques d'un besoin ? : y trouver un coté ludique/intérêt fort/être dans la vie sociale
        Je fais le choix de continuer les cartes papier pour les vœux et pour les anniversaires, c'est plus authentique
Le groupe :
            on parle d'addiction ?, de nouveau Doudou ? . . .
            Et la grande question : Peut on vivre sans portable ? NON ON PERD TOUT (contacts, photos, codes . . .) s'exclame unanime le groupe entier . . . n'est ce pas là un signe d'addiction ? (remarque de l'auteur de l'article).
            Tous ces échanges furent agrémentés d'une boisson et de petits biscuits offerts, un franche réussite même si on a pu remarqué que peu de groupes avaient un vrai rapporteur
            Maintenant, à ceux qui ont émis quelques désirs de les mettre en pratique ! ! !
                                                                                                          à la prochaine
Constant