Jeudi 8 octobre au " Mont Saint Michel "
Nous sommes partis du Louis d'or vers
dix heures accompagnés par Gaëlle, Hélène et Eric.
Quand nous sommes arrivés à destination, Eric a stationné le minibus dans un parking.
Quand nous sommes arrivés à destination, Eric a stationné le minibus dans un parking.
Ensuite, nous nous sommes
installés dans une navette à moteur.
Nous avons rejoint le Mont en dix minutes
sur le pont passerelle en forme de courbe fluide.
Posé sur des poteaux très fins,
il laisse passer les marées sur son tablier d’acier. Il débouche en pente douce
au pied du Mont. Il est emprunté par des navettes tirées par deux chevaux.
Arrivés au
monument historique, nous avons croisé une foule de gens et des foules
d’envies.
Ce haut lieu de la chrétienté est
aussi le paradis de la tentation. Le
charme des lieux est encore largement
médiéval. On traverse les trois « États » de la société
féodale : en bas les marchands, puis les religieux et enfin, en haut les
seigneurs.
Les premiers escaliers dispersent
les visiteurs comme les perles d’un collier brisé. Nous avalons les degrés
rappelant à notre cœur que le Mont est une épreuve physique, une saine fatigue,
un pèlerinage pentu et sans âge.
Essoufflés et soufflés par le
plein d’horizon, on devine Cancale derrière sa mousseline de brume.
La Merveille sort du rocher, elle
ne s’y enfonce pas.
Non, le mystère ici n’a rien
avoir avec de la science de pacotille. Le mystère du Mont est lié aux
atmosphères qu’il distille.
Le Mont est une marche dans le soleil, même les
jours gris.
Nous avons aperçu l’abbaye. Des
rosiers poussent à l’abri des buis taillés. Les colonnes sont au garde à vous.
Nous avons
pique-niqué paisiblement sur des rochers. Et nous avons continué notre visite
en slalomant entre les visiteurs et les ruelles du Mont.
Nous avons emprunté le pont du
barrage. Au Mont, le barrage est plutôt un régulateur de marée. Les vannes ont
été dessinées comme des objets d’arts.
Nous nous sommes arrêtés sur une
zone commerciale.
Nous nous sommes désaltérés en
buvant une boisson chaude.
Enfin, nous avons rejoint le
parking et nous avons reprit notre route en direction de Rennes.
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